Créer un site internet
Nationalisme et Patriotisme du Québec Soyons fier de ce qui nous sommes

MULTICULTURALISME ET IMMIGRATION MASSIVE

Racisme: toutes les couleurs de l’horreur

 

 

 

 

 

 

Le mouvement antiraciste est un vaste parapluie regroupant toutes sortes de sensibilités et de motivations.

L’une d’elles insiste beaucoup sur cet effroyable crime contre l’humanité que fut la réduction à l’état d’esclaves d’Africains vendus ensuite dans les diverses colonies des Amériques.

On a aussi vu l’antiracisme servir récemment de paravent boiteux pour de nouvelles dénonciations de la Loi sur la laïcité, surtout faites par des musulmanes voilées.

Un peu d’histoire maintenant.

Commerce

Dans l’histoire de l’humanité, il y a eu trois types de trafic d’esclaves, si on laisse de côté la problématique actuelle du commerce de femmes et d’enfants non consentants à des fins sexuelles. Il y a eu la traite en Occident, donc un commerce triangulaire entre l’Afrique, l’Europe et les Amériques. Elle dura cinq siècles.

Il y a eu la traite intra-africaine : des Africains transformaient en esclaves d’autres Africains qui ne quittaient pas le continent. Il y a eu enfin la traite vers l’Orient, puisqu’il y eut des Africains esclaves dans le monde musulman, en Inde, en Chine, etc. Dans cette traite vers l’Orient, le trafic arabo-musulman fut le plus important. Il s’étendit du VIIe siècle à 1920.

On souligne peu que cette horreur absolue fut effectuée avec la complicité de nombreux rois africains.

Les trafiquants occidentaux, par exemple, restaient sur les côtes du Nigéria, du Togo, du Bénin.

Les razzias d’êtres humains à l’intérieur des terres étaient faites par des Africains qui en gardaient certains et échangeaient les autres contre des marchandises.

L’esclavage était donc aussi un instrument de politique intérieure aux mains de potentats africains. Les spécialistes s’entendent sur environ 10 millions d’infortunés arrachés de chez eux et envoyés dans les Amériques.

J’évoquais plus haut cet amalgame entre le racisme et la laïcité fait par des militantes musulmanes revêtues de leur hijab.

Mahomet lui-même possédait des esclaves et le texte coranique le dit sans détour.

Dans la traite arabo-musulmane, il y a aussi débat parmi les spécialistes sur le nombre d’esclaves impliqués en raison du caractère incomplet des sources.

Le chiffre le plus communément évoqué est de 17 millions d’êtres humains.

Il n’y a cependant aucun débat possible sur ce que Paul Bairoch résume ainsi :

« Comparé à la traite des Noirs organisée par les Européens, le trafic d’esclaves du monde musulman a démarré plus tôt, a duré plus longtemps et, ce qui est plus important, a touché un plus grand nombre d’esclaves ».

Tidiane N’Diaye explique qu’une particularité de l’esclavage arabo-islamique fut que les mâles étaient systématiquement castrés. Ils n’ont donc pas laissé une descendance qui, aujourd’hui, pourrait rappeler cette horreur et demander reconnaissance ou réparation.

Monopole

En Occident, l’esclavage fut aboli par étapes au 19e siècle.

En Arabie saoudite, il ne fut aboli qu’en 1962 et, en Mauritanie, il subsiste dans les faits bien qu’officiellement aboli en 1981.

Plus près de nous, plusieurs tribus amérindiennes, dans ce qui est aujourd’hui le Canada, réduisaient en esclavage les tribus conquises.

Dans l’histoire de l’humanité, personne n’a eu le monopole de l’horreur, et la barbarie est venue dans toutes les couleurs.

 

Disparaître?: afflux migratoires et avenir du Québec

 

"A??u Québec, jusqu'à la fin des années 1990, s'est maintenue une majorité d'ascendance canadienne-française au-delà des 80%.

Au rythme de décroissance actuel, elle pourrait disparaître sous la barre des 50% au cours du siècle.

Sur l'île de Montréal, c'est déjà fait. Parmi les premières causes de ce suicide collectif : un taux d'immigration parmi les plus élevés au monde -- 50 000 nouveaux arrivants en moyenne par année -- et une politique migratoire qui entretient des mythes sur les retombées positives de l'immigration de masse.

N'est-il pas grand temps pour cette fragile communauté de destin d'assujettir son hospitalité à sa capacité réelle d'intégration ?

Le Canada accueille 2,4 fois plus d'immigrants que les États-Unis, bien que cette politique échoue avec entêtement dans chacun de ses objectifs et justifications.

Au Québec, avec le maintien des seuils élevés (50 000 et plus par année) fixés par les administrations libérales, le français perd 10% à chaque 25 ans (allant de 80% en 1990, à 69% en 2036) , continuera de le faire et à détacher Montréal du reste de la province. 

Ceux qui assument une responsabilité intellectuelle ou politique dans le camp national, qu'ils soient autonomistes ou souverainistes, doivent aller au-delà des interdits idéoligiques imposés par la rectitude politique et véritablement remettre en question le multiculturalisme d'Éttat et l'immigration massive.

C'est de notre existence comme peuple qu'il est question.

 

Compte-rendu: L’empire du politiquement correct

 

Tout d’abord, Bock-Côté commence dans son plus récent ouvrage par expliquer ce qu’est le politiquement correct et par nous démontrer les rouages de ce totalitarisme mental.

Sa critique est pertinente et aurait pu être écrite par notre ami Tomislav Sunic qui a longuement écrit sur ce sujet, mais que Bock-Côté ne connait sûrement pas, car même s’il pourfend la rectitude politique, il y a tout de même des lignes qu’il n’osera pas franchir au nom de la respectabilité.


Le sociologue nous nous offre une définition relativement simple et limpide de ce qu’est ce phénomène de politiquement correct, soit « un dispositif inhibiteur ayant pour vocation d’étouffer, de refouler ou de diaboliser les critiques du régime diversitaire et de l’héritage des Radical Sixties et plus largement d’exclure de l’espace public tous ceux qui transgress eraient cette interdiction. »

La diabolisation de ceux qui osent remettre en question ne serait-ce qu’un seul aspect des dérives sociétales modernes est devenue le phénomène le plus visible de la rectitude, et dans cette nouvelle chasse aux sorcières personne n’est à l’abri.

« Les procès en sorcellerie ont moins disparu qu’ils ne se sont modernisés », écrit lucidement Bock-Côté.

Avec l’hypermoralisation du débat public, on ne tente plus d’opposer des arguments aux adversaires, mais bien de reléguer dans les marges les nouveaux pestiférés, ceux qui parfois ayant parfois un cursus bien-pensant irréprochable vont lâcher un mot de trop, une réflexion jugée impie.

Nombreux sont ceux qui apprirent à leurs dépends qu’une feuille de route sans faute ne suffisait pas à se faire pardonner d’une pensée hérétique, aussi momentanée qu’elle puisse être. C’est la raison pour laquelle lors de la campagne électorale fédérale, les gratte-papiers des grands journaux passèrent des heures à éplucher les pages Facebook de tous les candidats à la recherche du moindre écart dans les dernières années.

Les politiciens furent davantage questionnés sur ce qu’ils avaient pu dire il y a une quinzaine d’années que ce qu’ils prévoyaient pour les cinq prochaines.?

À l’origine des concepts en vogue qui deviennent des dogmes, comme la théorie du genre, la lubie des territoires non-cédés, l’on retrouve une frange radicale et ultra minoritaire qui parvient à imposer son agenda en faisant taire tout opposant au nom d’une morale moderniste.

Les médias se font la courroie de transmission de ce système de contrôle de la pensée et ce sont les journalistes ou les personnalités médiatiques en vue dans les cénacles de la gauche qui distribuent les fatwas, condamnent les nouveaux hérétiques à une mort sociale assurée à moins que ceux-ci n’acceptent de s’humilier sur la place publique en s’excusant et en admettant ses erreurs, à la mode stalinienne.

Il faut empêcher de s’exprimer, et ce de n’importe quelle façon comme les antifas l’ont démontré, toute voix discordante, aussi menue soit-elle. D’ailleurs, la liberté d’expression est désormais un concept suspect associé à l’extrême droite, lorsqu’un conférencier se fait évincer par des marginaux cagoulés avec la bénédiction des médias, il ne s’agit pas de censure, mais simplement pour les minorités opprimées de se réapproprier un espace public qui leur revient de droit.

Grâce à la rectitude politique, on impose une vision idéologique censée se substituer au réel, ce qui mène à des paradoxes, ou à la doublepensée orwellienne. Ainsi, la doxa officielle explique que « la mutation démographique des pays occidentaux est un fantasme entretenu par des idéologues xénophobes, mais en même temps, elle a déjà eu lieu et il faut s’y faire car elle ira jusqu’au bout de lui-même d’autant qu’elle représente une bonne nouvelle à l’échelle de l’histoire. »

On nie les réalités qui pourtant sont visibles et on tente de juguler le problème en faisant taire ceux qui voient que le roi est nu et qui refusent les œillères qu’on tente de leur imposer. Mais voilà, le fossé se creuse entre la perception populaire et les dictats idéologiques, ce qui finit par tuer la bien-pensance, du moins au niveau du peuple, d’où l’émergence de mouvements populistes tant sur la toile qu’en politique. Avec le net et notamment les réseaux sociaux, le monopole médiatique s’effrite et le peuple parvient à s’exprimer et à s’abreuver à d’autres sources, comme les sites de réinformation dont le site de la Fédération des Québécois de souche.

Les bien-pensants ne font pas que réinterpréter ce qu’est la démocratie, ils vont jusqu’à redéfinir le peuple de souche comme de simples immigrants arrivés par un hasard du destin un peu plus tôt que les autres et sans plus de légitimité. Il n’y ainsi plus de culture à laquelle se greffer, comme l’expliquait si bien Justin Trudeau en divaguant dans les colonnes du New York Times sur son état postnational.

Même l’homme est repensé et « nous ne sommes pas loin du mythe de l’homme nouveau, comme si l’homme devait se purger de son existence historique pour renaître d’une matrice virginale, sans corruption aucune. » Exit les déterminismes, soient-ils culturels, historiques, ethniques ou même sexuels.

La théorie du genre, le déracinement, tout cela tend vers cet homme qui s’autocrée au gré de ses désirs. Tout cela relève du projet totalitariste, comme Tom Sunic l’avait bien exprimé dans les pages du Harfang (numéro Octobre-novembre 2019).

Il n’y nulle possibilité de dissension ou de remise en question au sein de cet empire idéologique. Le sociologue reprend les termes Milan Kundera qui expliquait que « les empires totalitaires ont disparu avec leurs procès sanglants mais l’esprit du procès est resté comme héritage et c’est lui qui règle des comptes. » La méthode s’est subtilisée.

« Ce n’est pas nous qui désignons l’ennemi, c’est lui qui nous désigne. Et s’il veut que nous soyons son ennemi, nous aurons beau lui faire les plus belles protestations d’amitié, nous le serons. Et il nous empêchera même de cultiver notre jardin. »

 

 

Djemila Benhabib

Djemila Benhabib - Lancement d'Après Charlie

Zineb El Rhazoui - Ruth Elkrief. BFMTV, le 25/10/2016

Djemila Benhabib

Djemila Benhabib : «l'Islam c'est le totalitarisme »

La laïcité, la démocratie et l'islam politique en question

Ces vidéos nous parlent à nous pour nous éviter l'enfer de la France

Conférence de presse Mgr LEFEBVRE

Mathieu Bock Côté

Église en sortie 23 septembre 2016

Mathieu Bock-Côté vs Alain Renaut - Répliques - Heurts et malheurs de la société multiculturelle

Zineb El Rhazoui "On n'a pas le droit de se taire"

Zineb El Rhazoui publie un essai polémique contre le "fascisme islamique.

×